Pour la première fois, des climatologues américains ont réussi à intégrer le cycle de l'azote dans les simulations climatiques, remettant en question les hypothèses précédentes concernant les rétroactions du carbone et contribuant à affiner les prévisions climatiques.
Les résultats illustrent la complexité de la modélisation du climat en démontrant une fois de plus l'effet considérable des processus naturels sur le cycle du carbone et les simulations climatiques. L'auteur de l'étude décrit l'intégration de ces processus comme une étape nécessaire pour développer la précision des prévisions climatiques et indique qu'en intégrant dans les modèles les besoins nutritifs des plantes, le changement climatique à venir pourrait être plus prononcé que ce qui a été prévu jusqu'à maintenant.

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